Alors que la guerre fait rage en Syrie, les civils vivent dans des conditions inhumaines.
Depuis 2011, une guerre civile a été déclenchée entre le régime de Bachar el-Assad et les forces rebelles. La majorité de la population a été contrainte de se déplacer tandis qu’une partie a pris le choix de rester vivre sur place.
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L’éducation en danger
Depuis le début de la guerre, l’éducation syrienne est mise en péril . En effet, quatre enfants sur dix n’ont plus accès à l’éducation à cause des bombardements qui ont détruit et dévasté les écoles. Le nombre de place disponible dans les écoles est décroissant, les écoles sont gravement endommagées, certaines sont même fermées. Les Syriens n’ont pas tous la chance d’avoir accès à l’éducation et donc au savoir. Leur avenir est compromis. De plus, en allant jusqu’à leurs écoles, beaucoup d’enfants sont en dangers et risquent leur vie sur ce trajet quotidien. Malgré tous ces événements , des organisations comme l’UNICEF interviennent. Par exemple, en construisant des écoles dans des camps de réfugiés que ce soit dans des tentes ou dans des abris de fortunes, pour ainsi sauver les générations sans éducation.
Source : AP photo 2012 ; Écolier assis dans une classe d’école détruite d’Alep.
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Un accès aux vivres difficile.
Depuis le début de la crise en Syrie, 50% des boulangeries publiques ont été endommagées par les bombardements. Le prix du pain a augmenté de 300% en moyenne et jusqu’à 1000% dans les zones les plus touchées. Le pain qui est un aliment principal dans l’alimentation syrienne devient de plus en plus difficile à acheter.
Sam, un militant du réseau syrien des droits de l’homme déclare ; « Avant la crise, 1 kilo de pain coûtait 20 livres syriennes, soit moins d’un demi-dollar. Maintenant ça coûte 2 dollars. Le prix a été multiplié par 4, voire par 5. Heureusement nous avons encore des boîtes de conserve. Mais les aliments frais et la viande sont rares et coûtent très chers.»
On peut constater que les besoins humanitaires en Syrie ont été multipliés par 12 depuis le début de la crise et trouver de la nourriture est devenu une bataille à Alep.
Marwan qui fait partie du réseau Shaam News Network raconte : «Depuis une semaine, il est très difficile de trouver du pain à Alep. Et il n’y a pas seulement une crise du pain. Nous n’avons pas non plus d’électricité, ni de gaz. Alep est l’une des villes les plus peuplées de Syrie, donc ce sont des millions de personnes qui sont en danger.»
En Syrie, la population souffre d’une grande pénurie d’eau et donc il est de plus en plus difficile de se procurer de l’eau potable. Des millions de personnes qui se sont déplacées suite à cette guerre se retrouvent sans accès à l’eau potable. L’eau devient chère.
De plus on constate que l’eau provenant de la pluie est très insuffisante. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) qui est en collaboration avec la Croix rouge aide les syriens à avoir de l’eau potable elle a donc installé une petite fontaine d’eau et aide les syriens comme ils peuvent.
Le 10 janvier 2017.
Eva, Kaoutar, Odys, Manon, Marjorie 1°ES2